Le ministère des sports , une ignominie pour le peuple congolais ?
Après les années de gloire, notamment 1974, 1978,2009,2016; 2018 aurait été associé à ces dates glorieuses n’eût été ce loupé douloureux qui a directement placé la RDC sur une pente descendante.
Du dégoût des supporters au désordre constaté au sein des différentes fédérations en passant par le manque d’infrastructures sportives adéquates, le tableau est sombre.
Et puis vint le ministre Serge Nkonde Chembo en avril 2021, arrivée prise comme bouée de sauvetage avec comme défis :
– Élaborer une vraie politique nationale sportive avec des objectifs à court, moyen et long terme.
– Revoir de fond en comble la loi sportive promulguée depuis le 24 décembre 2011.
Ceci devait tracer le chemin de la professionnalisation du sport, son autonomisation financière ( fédérations reconnues);
Mettre les mécanismes de la défiscalisation du sponsoring des activités sportives pour inciter les partenaires et autres sponsors d’investir concrètement;
Construire des infrastructures sportives modernes pour la bonne pratique du sport.
C’était sans compter sur la capacité de l’homme congolais à s’illustrer par une gestion chaotique de la chose publique.
Le sport congolais est devenu un secteur laitier pour ses multiples commissaires.
Malheureux !
De son excellence Monsieur le ministre des sports et loisirs
@Serge Khonde chembo
L’on retiendra:
-600000$ pour la réalisation du contrat de papy @Hector cuper
– Elimination de la RDC en barrage du mondial Q2022 match retour suivi en avion affrété dans un pays d’Afrique.
– La disqualification des léopards U23
– les arrêts répétés du championnat
– 1000000$ pour les assises de Mbwela… Sans suite
– Disqualification des U17
– Non homologation des stades avec tous ce qui s’en suit… Délocalisation du match RDC- Mauritanie vers le Cameroun( changement en cours), Lupopo en Zambie, v-club à Brazza, DCMP en Angola…
– Le report des jeux de la francophonie ( travaux stagnantes au stade tata Raphaël)
– 100000$ en liquide pour Martin Bakole
La liste n’est pas exhaustive.
Cedrick Cishimbi
